Photographies d’art disponibles à la vente
Chaque série de photographies présentée ici est le fruit d’un travail au long cours.
Je conçois mes images comme des ensembles cohérents, guidés par un regard, une atmosphère, une émotion. Chaque photographie trouve sa place dans un tout : un parcours visuel, une respiration, un temps suspendu.
Mes séries évoluent au fil des voyages et des projets. Jardins japonais, paysages d’ailleurs, fragments du quotidien… elles traduisent une même recherche : celle d’un équilibre entre beauté, silence et présence au monde.
Acquérir un tirage
Parce que la photographie d’auteur ne doit pas rester réservée aux collectionneurs, mes images sont proposées à des tarifs accessibles.
Chaque tirage est réalisé avec soin, pour offrir la même qualité et la même émotion que l’original.
Ces images sont disponibles à la vente, en tirage seul ou encadré.
Je privilégie le contact direct : chaque commande se fait de vive voix, pour échanger autour du choix, du format et des détails pratiques.
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Tirage seul : 95 €
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Tirage encadré (18 x 24 cm avec Marie-Louise et cadre 30 x 40 cm) : 105 €
(hors frais de port)
📞 Contactez-moi pour choisir votre tirage ou simplement en savoir plus.
Conditions de vente
- Ces séries sont proposées à la vente en tirages limités, numérotés et signés, sur papier d’art haut de gamme.
- Elles peuvent être acquises à l’unité ou en composition, pour particuliers, entreprises ou institutions souhaitant intégrer une dimension artistique et apaisante à leurs espaces.
Série « Mirei Shigemori – Paysages de jardins »
Entre ombre et lumière, les jardins de Mirei Shigemori révèlent une géométrie du silence.
Le noir et blanc en souligne la rigueur, la profondeur, l’intemporalité.
Photographier ces espaces, c’est saisir l’équilibre fragile entre ordre et mouvement, entre matière et esprit.
Série « Jardins japonais en automne »
Quand l’automne s’invite dans les jardins japonais, la rigueur du dessin dialogue avec l’éphémère des couleurs.
Rouges, ors et bruns viennent troubler la géométrie du râteau et l’ordre des pierres.
La lumière se fait plus douce, les ombres plus longues, et dans cette respiration du temps, la nature rappelle que toute beauté est passagère.
Photographier ces jardins, c’est retenir un instant avant qu’il ne disparaisse, capturer la mélancolie lumineuse d’une saison qui s’efface.
Série « Les jardins japonais, miroirs du silence »
Ruisseaux, bassins, étangs… l’eau est l’âme secrète des jardins japonais.
Surface tranquille ou miroir mouvant, elle transforme la perception, dédouble les lignes, fait danser la lumière.
Dans ses reflets, le réel se brouille et devient peinture.
Photographier l’eau, c’est chercher la limite entre présence et illusion, entre le monde visible et celui qu’on devine dans la vibration d’une onde.
Série « Regards immobiles et jardins japonais »
Assis face au vide ou au plein, les visiteurs des jardins japonais deviennent eux-mêmes partie du paysage.
Leur immobilité répond à la rigueur des formes, leur regard prolonge celui du photographe.
Observer ceux qui contemplent, c’est saisir le dialogue silencieux entre l’homme et le monde, entre la pensée et la nature.
Dans ces images, le temps s’arrête, et la beauté devient partage.
